How I could just kill a man
Yeah, je voulais pas revenir aussi vite, mais faut dire que défois on est bien forcés.
Aujourd'hui (j'ai l'impression que je commence toujours par "aujourd'hui", ça doit sûrement être dû à mon manque de notion du temps, alors je m'efforce toujours de re-situer dans le contexte), j'ai été frappée par la justesse d'une remarque faite anodinement : Pourquoi les gars retirent toujours leurs pulls PAR L'ARRIERE ? Vraiment, j'ai jamais connu un gars qui enlevait correctement son pull sans se retrouver à moitié à poil. En même temps, en réponse à moi même, je dirais que comme ça tu peux juger directement sur la masse pileuse de l'individu (s'il ressemble plus à Demis Roussos qu'à l'homme, pas moyen, il dégage).
J'aurais pu avoir envie de vous raconter ma vie, mais au final je sais pas si ça sera super instructif. Oh, j'écoute le Wu-tang Clan, et je me sens rebelle. J'ai affreusement plus rien à me mettre, c'est horriiiiible (oui, encore une grande différence meuf/gars, les filles on jamais rien à se mettre, c'est un fait, mais tout disparaît horriblement dans le placard), je commence à croire que je suis superficielle de la mort qui tue. A la réfléxion peut être suis je une superficielle.
Vraiment pas instructif.
Je pourrais aussi pour combler le vide de ce post me lancer un défi imaginaire, genre prendre le premier livre à coté de moi, en lire une phrase et j'improvise dessus :
"Le seul invertébré dans le bouillon de poule, c'est que l'abattis en crème de marron agité d'un léger balancement me propulse direct dans al catégorie singe anthropoïde à longs bras."
Non, je peux pas.
Quand on se retient d'éternuer, on fait exploser des neurones dans son cerveau.